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Informations

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NOUVEAU SERVICE  ALIMENTATION EN LIGNE :

Face à l’inflation  des aliments à objectifs thérapeutiques et les aliments standards pour les chien et les chats - jusqu’à 25% - la Clinique Vétérinaire de l’Astarac a décidé d’ouvrir UNE BOUTIQUE EN LIGNE sous la marque VETORINO. VETORINO est une plateforme vétérinaire qui vous permettra d’acquérir les aliments de vos compagnons à quatre pattes avec la qualité et le conseil de votre vétérinaire, livrés uniquement à partir de sa Centrale d’achat dans votre clinique.

 

CONNECTEZ VOUS A PARTIR DU SITE DE LA CLINIQUE  - BOUTON BOUTIQUE - ET DECOUVREZ LES NOMBREUX AVANTAGES DE CETTE NOUVELLE FORMULE AFIN DE CONTINUER A SOIGNER VOS ANIMAUX.

 

NOS ASSISTANTES SONT A VOTRE DISPOSITION POUR TOUT RENSEIGNEMENT COMPLEMENTAIRE

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Principaux signes cliniques :

-Troubles cutanés

-Perte de poils autour des yeux , des oreilles et de la truffe

-Saignements de nez

-Boiteries

-Griffes anormalement longues

-Epaississement des coussinet…..

Puis dégradation rapide :

-Abattement

-Perte de

-Diminution de la masse musculaire

-Père d’appétit

-Anémie

-Arthrite

-Insuffisance rénale

-Insuffisance hépatique…

-Mort EN QUELQUES SEMAINES

 
LEISHMANIOSE :

Prévention  grâce à la vaccination et la lutte contre les Phlébothomes

La Leishmaniose (Leishmania infantum) est une maladie endémique dans le Sud-Est, l'Espagne et le pourtour méditerranéen et présente depuis 3 à 5  ans dans notre département le Gers, elle concerne quasi exclusivement les chiens. Elle est transmise lors de la piqure par le phlébotome aux chiens, plutôt en fin de soirée ou la nuit . Leishmania infantum, le parasite responsable de la leishmaniose chez le chien, est transmissible à l'Homme (la leishmaniose fait donc partie des maladies appelées «zoonoses »). La transmission se fait par l'intermédiaire d'un phlébotome qui s'est préalablement contaminé en se nourrissant sur un chien malade ou par des plaies présentes sur l’animal.

La PRÉVENTION de la LEISHMANIOSE repose sur trois piliers :

1 - la répulsion des phlébotomes en utilisant des colliers spécifiques :

COLLIER SERESTO à partir de 32.10 €TTC

2 - En protégeant physiquement le chien , couchage en hauteur, muret de protection autour de la niche, moustiquaire, pas de sortie en soirée

3 - LA VACCINATION QUI CONSISTE A PROTÉGER LE CHIEN PAR STIMULATION DE L’IMMUNITÉ.

LA VACCINATION SE FAIT EN DEHORS DES AUTRES VACCINS UNE SEULE INJECTION SUFFIT

ELLE NE PEUT SE RÉALISER QUE SUR DES CHIENS ÂGÉS DE PLUS DE 6 MOIS ET N’AYANT PAS ÉTÉ INFECTÉS

UN TEST RAPIDE DE DÉPISTAGE EXISTE DEMANDEZ-LE : 44.40 €TTC

 

ELLE NÉCESSITE UNE SEULE INJECTION ET DES RAPPELS ANNUELS

LA PRIMO VACCINATION COUTE PAR INJECTION:

Vaccin LETIFEND : 108.00 €TTC

LE RAPPEL EST ANNUEL

Plus d'information sur le site  : https://www.esccap.fr/maladies-vectorielles/leishmaniose.html
PIROPLASMOSE ET TIQUES
Le GERS est un département où la PIROPLASMOSE est particulièrement virulente. Tous les ans de chiens en meurent faute de PRÉVENTION. Les chats ne sont pas concernés par cette affection.

Quelque soit la saison dans notre département les tiques prolifèrent et le risque de contact avec vos chiens (et vos chats) va être plus important. La piroplasmose est une maladie endémique dans notre département, elle concerne quasi exclusivement les chiens. Elle est transmise par morsure de la tique à l’animal. Les piroplasmose colonisent les globules rouges et les font mourir.

La PRÉVENTION de la PIROPLASMOSE repose sur trois piliers :

1 - la vérification de l’absence de tiques sur le chien

2 - l’utilisation efficace d’antiparasitaires externes : cachets, pipettes ou colliers

3 - LA VACCINATION QUI CONSISTE A PROTÉGER LE CHIEN CONTRE L’ENTRÉE DES PARASITES DANS LES GLOBULES ROUGES ET A DIMINUER LES RISQUES SECONDAIRES EN CAS DE SUR INFESTATION.

LA VACCINATION SE FAIT EN DEHORS DES AUTRES VACCINS

ELLE NE PEUT SE RÉALISER QUE SUR DES CHIENS ÂGES DE PLUS DE 6 MOIS ET N’AYANT PAS ÉTÉ INFECTÉS

 

ELLE NÉCESSITE DEUX INJECTIONS A 3 – 4 SEMAINES D’INTERVALLE

LE RAPPEL EST SEMESTRIEL CAR NOUS SOMMES DANS UN DÉPARTEMENT A RISQUE ÉLEVÉ

LA PRIMO VACCINATION -VACCIN PIRODOG -(DEUX INJECTIONS) OU LES RAPPELS SEMESTRIELS COUTENT PAR INJECTION : 72.00 €TTC

Plus d'information sur le site : https://www.esccap.fr/maladies-vectorielles/piroplasmose-babesiose.html

Principaux signes cliniques :

-Abattement parfois douleur

-Température élevée

-Muqueuse blanche

-Urines colorées

Puis dégradation rapide :

-Anémie (mort des Globules rouges)

-Insuffisance rénale aigue

-Risque choc auto-immun

-Hypothermie

-Mort en quelques jours

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Intoxications, Envenimations.....

 

Tous signes d'abattement soudain, de convulsions ou de tremblements,  d'hypersalvation, vomisssements et diarrhées de modifications morphologiques (boursoufflures, grosseurs, gonflements) doivent être pris au sérieux et traités très rapidement en contactant la clinique et votre vétérinaire

 

Pour les intoxications aux raticides les signes sont parfois très frustres : toux, abattement, refus d'alimentation, saignements spontanés et l'antidote n'est efficace que si les soins sont donnés en moins de 48 heures après l'ingestion du toxique.  Un traitement allant de 3 semaines à plus de 5  semaines devra être mis en place selon les résultats sanguins obtenus à la clinique. 

La rage est une maladie mortelle si elle n’est pas traitée à temps. Le traitement préventif de la rage humaine est très efficace s’il est administré après le contact avec l’animal porteur, mais avant l’apparition des symptômes.

C’est pourquoi toute personne qui aurait été mordue, griffée, égratignée, ou léchée sur une muqueuse (bouche, yeux…) ou sur une peau lésée (plaie, coupure…) par un animal suspect ou non en zone de rage ou doit contacter immédiatement un médecin.

INFO RAGE : Information, Prévention, voyages à l'étranger

Une maladie à prendre au sérieux  : 3 CAS EN 3 ANS - 1 MORT

Informations sur la maladie sur le site de L’INSTITUT PASTEUR

PRÉVENTION contre la RAGE vis à vis des  carnivores Domestiques :

IDENTIFICATION PAR PUCE ÉLECTRONIQUE (transpondeur)

VACCINATION RECOMMANDÉE POUR LES CHIENS ET LES CHATS

CERTIFICATION SUR PASSEPORT EUROPÉEN

Dernière nouvelle sur la rage en, France

Un chien husky de 4 ans, détenu dans un refuge de l'Essonne (Ile-de-France), a été confirmé atteint de rage le 27 octobre par l'Institut Pasteur. Cette détection a été rendue possible grâce à la vigilance d'un veterinaire qui s'est rendu sur place après appel des responsables.  L'animal non vacciné contre la rage proviendrait du Maroc.

L'Institut Pasteur a confirmé, le 27 octobre, un cas de rage chez un chien de type croisé husky détenu dans un refuge d'Évry-Courcouronnes dans l'Essonne (91), a informé le ministère de l'Agriculture le même jour.

L'animal a mordu plusieurs personnes qui ont été prises en charge par le centre antirabique de l'Institut Pasteur, qui leur a administré un traitement prophylactique post-exposition.

Au total 32 personnes auraient été considérées comme exposées par l'ARS dont 4 agents du refuge.

Le vétérinaire a été appelé parce que l'animal avait « du sang dans la bouche ». A son arrivée, le chien de 35 kg était dans un état très dégradé. Il avait mordu plusieurs personnes, se jetait sur les barreaux de son box, se grattait intensément et déglutissait fréquemment. Il avait été remis au refuge le 14 septembre par une personne qui avait indiqué qu'il provenait du Maroc. Tous ces éléments ont orienté notre confrère vers le diagnostic de suspicion de rage et l'ont conduit à conseiller une prise en charge des personnes qui avaient été au contact de l'animal.

Premiers signes le 19 octobre

Les autorités sanitaires déclarent en effet avoir reçu, le 25 octobre, un signalement de suspicion de rage chez un chien âgé de 4 ans. Les résultats définitifs obtenus le 27 octobre ont confirmé le diagnostic. L'animal présentait des symptômes de rage et avait mordu plusieurs personnes. Les personnes mordues ont été prises en charge par le Centre antirabique de l'Institut Pasteur dès l'obtention des premiers résultats positifs obtenus le 26 octobre puis confirmés le lendemain par le Centre national de référence de la rage à l'Institut Pasteur.

L'animal a développé les premiers signes le 19 octobre et est mort le 25 octobre. Pendant toute la période de contagiosité (jusqu'à 15 jours avant les premiers signes), le chien est resté dans le refuge, seul dans son box ou dans une courette de détente.

« Aucun autre animal du refuge (14 chats et 21 chiens, NDLR) n'a présenté de symptômes ni de signes évocateurs de la rage. Au vu de la période d'incubation, le chien avait nécessairement contracté la rage avant son arrivée au refuge », soulignent les autorités.

 

La France indemne depuis 2001 hors chauve-souris

 

Rappelons que la France est officiellement indemne de rage depuis 2001 (hors chauves-souris) mais la maladie continue de circuler dans de nombreux pays, notamment en Asie et en Afrique, où le chien reste responsable de la majorité des cas de transmission à l'Homme.

En France (à l'exception de la Guyane française), la vaccination des animaux domestiques est pratiquée sur une base incitative, sauf cas particuliers (par exemple les chiens catégorisés). Dans de nombreux pays (en Union européenne et dans le monde), la vaccination antirabique constitue très souvent une condition sanitaire obligatoire avant d'entrer sur le territoire, permettant ainsi une protection vaccinale des animaux voyageant avec leur propriétaire.

« Il est rappelé l'obligation de ne pas importer des animaux sans respecter la réglementation en vigueur, notamment des pays où circule le virus de la rage », rappelle le ministère de l'Agriculture.

 

En 2020, un cas importé d'Espagne

Pour mémoire, un cas de rage chez un chat en Côte-d'Or a été confirmé, le 7 mai 2020, par l'Institut Pasteur. Le typage moléculaire du virus a montré que l'animal a été contaminé par une chauve-souris, ce qui est rarissime

Par ailleurs, le même institut a confirmé, le 13 février 2020, un cas de rage chez un chiot détenu à Saint-Martin-de-Ré (île de Ré). Cet animal, trouvé en Espagne en décembre en bord de route, avait été ramené illégalement en France

 

Enfin, un homme serait décédé d'une encéphalite provoquée par un virus rabique de chauve-souris en août 2019, au CHU de Limoges. Un tel cas de transmission rabique de la chauve-souris à l'Homme est rarissime et n'avait pas été constaté sur le territoire métropolitain depuis une cinquantaine d'années ■

* Anses : Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail.

Article paru dans La Dépêche Vétérinaire n° 1637

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